http://www.ateliersante.ch/bechamp.htm
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MORT Pasteur
c’est le domaine des médecins
le microbe est important
il y a contagion
On intervient avec des « antibiotiques »
Pôle FROID —> MORT
Maladies à développement LENT et INSIDIEUX
Tendance à la sclérose et au durcissement
Absence de Fièvre,Degénérescence, formation de tumeurs,
Maladies ayant tendance à la chronicité.associé à vieillissement, MORT
VIE Enderlein
c’est le domaine des Naturopathe et des thérapeutes
le « TERRAIN » est important
Il n’y a pas de contagion
on intervient avec des médicaments VIVANTS,
des « PRO-biotiques »Pôle CHAUD —> VIE
Maladies à développement RAPIDE et SPECTACULAIRE
Inflammations, fièvres,
maladies infectieuses, maladies aigües
résolution des « conflits » et guérison
associé à naissance, jeunesse, VIE
Les notions les plus récentes de
bioélectronique apportées par Louis Claude Vincent
(« bio-électronique de Vincent ») ont apporte des éclaircissements sur l’importance des valeurs biologiques concernant I’électromagnétisme, I’équilibre acido-basique et d’oxydoréduction dans le domaine des mutations des parasites sanguins.
Les notions de
pH
(équilibre acide / base), de
résistivité
, mais surtout de
potentiel d’ oxydoréduction
(rH2) participent à définir un équilibre biologique.
Voir également le site de l’association de Bio-électronique :
« De toutes les notions physico-électroniques mesurables, le rH2 est celle qui, de très loin, a la plus grande portée dans tous les domaines pratiques de la Vie, aussi bien animale que végétale.
C’est le rH2 qui donne de la vie la mesure la plus fine, la plus sensible, de son évolution dans le temps : c’est-à-dire de sa jeunesse, de son âge mur, de sa vieillesse. Les modifications qui interviennent dans le comportement de la vie dépendent plus du rH2 que de tout autre facteur.Ainsi en est-il des spécifications microbiennes et de leurs évolutions, de leurs mutations, de leur transformisme qui se révèle essentiellement tributaire du rH2 bien plus que du pH.
Les antagonismes biologiques se mesurent et s’expliquent surtout par des différences du rH2 : parasites, microbes, phages et virus, à fortiori parasites et virus. »Louis Claude Vincent