crypto-zombification ou proto-humanité

bruno4

Carences qualitatives et quantitatives vitales suite à la suppression de l’environnement nutritionnel et enzymatique des 1800 K/cal/jour aujourd’hui inutiles !

Provoque

crypto-zombification ou proto-humanité

Précarité & peurs Économique Sociologique

Ontologique(ETRE)

Pollutions diverses

environnementale énergétique, mentale, suite étiopathique, suite émotionnelle,

Epuisement & carences

Biologique, fonctionnel

psychique, psycho-pysio

 

Besoin & Demande en nutriments et OE augmentées…SINON !

 

Dys-alimentation, dys-vitaminose, dys-nutrition, dys-minéralisation, dys-enzymation

(déficience d’apports d’utilisation et synthèse)

 

Mal-être, désorganisations biologique, énergétique, psycho-physiologique, suite étiopathique (mécontentement, désespoir, violence, maladie, fatigue, obésité, anorexie, déprime, adulation, confusion, identification & superposition être-faire)

 

Etapes intermédiaires. Selon qualité apports vitaux & subcarence régulière

 

Crise aigues
Chronicisation

Psycho-émotionnel-mental

Dysfonctions, psy, dépression (relation, ontologique, comportement, pédophilie)

Métabolique

Pré-diabète, HTA, AVC

Insomnie, nervosisme

Cholestérol, cancérinisme

 

Naturopathie & Hygiène vitale

Nutrition, biothérapie & principes de vitalité

CRISE DE GUERISON

Convalescence force vitale

Santé Autonomie

Allopathie & Médecine Artificielle

Vaccin chimie béquilles amputations

POISONS ANTI-SYMPTOMES

Inflammation, néoformation

Dépendance médicale

Pas de différence étiologique

et de traitement

Nutrition, Biothérapie, HV, terrain

Différenciation absurde

Infectieuses, métaboliques, lésionnelles, etc.

 

Spécialistes

Drogues, contention

STYGMATISATION

 

Orthopédie

Prothèses amputations Drogues, contention

STYGMATISATION

Psychiatrie

Drogues, contention

STYGMATISATION

Oncologie

Drogues, contention

STYGMATISATION

Allergie

Drogues, contention

STYGMATISATION

Métabolisme

Drogues, contention

STYGMATISATION

 

Pas de spécialiste des spécialistes

La supplémentation multi-vit-minéraux et vit C est incontournable. Celle ci représente la véritable « assurance santé » utiles ! (1 CHF/jour = 30 CHF/mois)

Voir tableau comparatif plante/humain +++

Voir étude 3 lots de rats Curtay+++

Toute vérité passe par trois stades : En premier lieu on la ridiculise; en deuxième lieu on s’y oppose violemment; enfin on l’accepte comme si elle allait de soi. » Schopenhauer

Gestion Santé Naturelle (Théorie)

La responsabilité humaine consiste en autonomie, intégrité et compassion !

Les freins à l’épanouissement et l’accomplissement sont principalement !

Ce tableau ne représente pas une critique et bien plutôt une précision !

L’invitation à la réflexion précède celle de la prise de position.

La maladie est avant tou5 globale avant d’éclater localement (psy, neuro, métab, structurel)

Hygiène vitale réformée permet -en plus de l’HV fondamentale des pionniers hippocratiques et hygiénistes(véritables)- et en plus de la protection électro magnétique l’épanouissement relationnelle, sociologique, environnementale et énergétique qui en constitue l’axe fondamental et essentiel !

Lorsque l’environnement, l’entourage, la parenté ou la famille d’un individu souffre ; cela signifie que cet individu est malade !

Explication allopathique :

L’être humain –qui ne serait pas constitué et entretenu par une force vitale- nécessiterai un soutien médical même parfois avec le risque iatrogène, vaccinal ou nosocomial. Les coûts consécutifs aux accidents nosocomiaux et iatrogéniques ne devraient plus être comptabilisés avec les coûts médicaux.

Il faut distinguer les coûts : de la vieillesse , des accidents, de la prévention, assurances, remboursements,

Explication naturopathique :

Il n’y a pas des différence de cause dans l’étiologie des maladies physiques et psychiques (toxémie pour résumer)

Entre santé et maladie : entre « tout et rien » : entre « fonction et lésion » ne peut qu’exister une zone, une étape de -ni tout ni rien- « un peu tout et un peu rien » qui est celle des « désorganisations et dysfonctions ». C’est justement ici que surgi l’échec médical -car les lésions décelables (par la biologie ou technologie)- sont consécutive aux dysfonction et dénutrition chroniques. En focalisant sur les EFFETS et symptômes l’allopathie néglige les CAUSES (la toxémie) qui s’intensifie . Cette toxémie appartient à la zone d’activité -non pas de prévention (qui n’est ni médicale, ni allopathique, ni vaccinale)- mais qui correspond précisément à celle de l’hygiène vitale fondamentale.

Par exemple la réduction des rations alimentaire de 4000 K/cal/jour à 2200 K/cal/jour souhaitable suite à la réduction d’efforts et nécessités du progrès… et de la « vitesse sociale »* (nous faisons moins d’efforts mais à des vitesses de plus en plus inhumaines et virtuelles…. Que nous nous déconnectons des racines) ! Le manque de l’environnement vitaminique, minéral enzymatique consécutif (à la réduction calorique 1800 K/cal/jour) fait défaut à la physiologie de base optimale (et pas minimal qui n’est pas intéressant) en 110 ans + 30 ans de vie OK car chaudière utilisée moins intensivement mais le carburant n’est constitué que de bois vert ou incomplet….. ou du charbon…

Les besoins principaux (de l’échelle de Maslow) n’étant pas réalisés – à cause et accentuant- les dévitalisations et déminéralisations consécutives produit selon les niveaux les différents degrés d’atteinte (du scorbut au diabète –même signes cliniques- en passant par la dépression)

Le champ écologique, le chant biologique et la conscience sanitaire

Espace, mental et énergie

La responsabilité humaine autonomie, intégrité compassion

La manque de compassion (querelleur, pédophile, bagarreur, provocateur, plaintif, admiration) correspondrait à une désactivation et désorganisation énergétique et quantique

La peur et maladies résulteraient de la toxémie. Pollution et carences = désorganisation physiologique = précarité cellulaire et tissulaire = épuisement = mécontentement = zombification = désespoir = violence = maladie

Statistique, le pourcentage des français carencés en vitamines :

(Source : Etude pour Sciences et Vie en 1999.)

Vitamine B1 : 56%. B2 : 41% . B3 : 40% . B6 : 58%. B9 : 45%. B12 : 7%. C : 29%. D : 75%. E : 42% Calcium : 35% Magnésium : 34% Fer : 20%

Autres chiffres … plus réalistes) suvimax. Carence pop. en Calcium = 70 %. VitC = 70%. Mg= 60%

L’apport journalier recommandé / conseillé (AJR) pour les vitamines en moyenne

ATTENTION= apport minimum (et pas OPTIMUM) : (pour un homme de 70kg)

Vitamine A : 800 millionièmes de gramme. Vitamine B1 : 1,4 mg. Vitamine B2 : 1,6 mg.
Vitamine B3 : 18 mg. Vitamine B5 : 6 mg. Vitamine B6 : 2 mg. Vitamine B8 : 150 millionièmes de gramme. Vitamine B9 : 200 millionièmes de gramme. Vitamine B12 : 1 millionième de gramme . Vitamine C : 60 mg. Vitamine D : 5 millionièmes de gramme
Vitamine E : 15 UI. Vitamine K : 100 millionièmes de gramme. Calcium : 800mg
Magnésium : 350mg. Fer : 10mg

Tout comme « un être vous manque et le monde est dépeuplé » ; une vitamine, un minéral, une enzyme nous manque et tout est désorganisé proportionnellement a) au niveau de cette carence et b) au nombre de combinaisons de ces poly-muti-carences et pollutions consécutive!

Carences et pollutions « bouffent » le phosphore total et désactivent électroniquement minéraux, enzymes, vitamines entraînant : outre les maladies cliniques .- 80% des délits familiaux et 20% de précarité existentielle.

Vit. C)

INSOMNIE ET TROUBLES DU SOMMEIL

FONCTIONS CEREBRALES

Schizophrenie, Autisme /Depression Cognition

TROUBLES IMMUNITAIRES

Cancer, Sida

VITAMINE C ANTI-TOXIQUE

CHOLESTEROL

AFFECTIONS ET DOULEURS OSTEO-ARTICULAIRES

Goutte, Arthrose

VITAMINE C ET SANG

Anemie, Coagulation, Maladies veineuses

UBIQUITE

L’acide ascorbique naturel, nom de la Vitamine C, intervient dans tant de processus biochimiques que, après plus de 40 ans de recherches, on est encore loin de connaître toutes ses voies métaboliques. En fait, il préserve l’homéostase physiologique, c’est à dire que l’organisme maintient par une production accrue d’acide ascorbique un équilibre biochimique facilement perturbé par des agressions variées.
En effet, la Vitamine C a un champ d’indications infiniment plus vaste que le scorbut. Favorisant le tonus général et l’immunité, elle est indiquée contre coryza, infections virales (
par synthese de l’interferon) et bactériennes les plus diverses. Elle  combat aussi certains cancers et leucémies, les troubles cardio-vasculaires et cérébro-vasculaires, l’arthrose et le rhumatisme, le vieillissement, l’asthme, les allergies et les rejets de greffes, des affections oculaires diverses, les ulcères, les affections des reins et de la vessie, le diabète et l’hypoglycémie, les agressions chimiques, biochimiques et physiques, l’état de choc, les troubles de la grossesse et de la parturition. Par son action essentielle dans d’innombrables processus biochimiques, un supplément d’acide ascorbique abaisse le taux de cholestérol et améliore l’absorption du fer. Son effet anxiolytique est avantageux dans le traitement des schizophrénies. La vitamine C mobilise aussi des métaux lourds, souvent en cause dans les désordres nerveux, et elle en facilite l’excrétion rénale à long terme.
Une propriété remarquable de l’acide ascorbique naturel est son innocuité, même administré à hautes doses durant de longues périodes, et il est peu de substances aussi atoxiques avec une telle activité physiologique..

LA GENESE La Decouverte
Le biochimiste hongrois Szent-Györgyi découvrit la vitamine C (C1), vers 1933, à la suite de nombreux travaux sur le suc de végétaux et la glande surrénale. Déjà en France, en Angleterre et aux Etats-Unis, des chercheurs étaient parvenus à obtenir des concentrés de ce facteur, mais c’est véritablement lui qui le premier l’isola en quantité importante à partir du paprika, variété de piment hongrois. Etant donné que l’expérience avait prouvé que la présence de ce corps dans l’alimentation prévenait le scorbut, Szent-Györgyi l’appela acide ascorbique (composé Carbone Hydrogene Oxygene C
6H8O6).
C’est à Linus Pauling, double prix Nobel, que l’on doit l’essentiel de ce que l’on sait sur la vitamine C..
..
Le Gene Perdu
L’acide ascorbique n’est pas une vitamine exogène pour toutes les espèces animales. Pratiquement toutes les espèces animales sont capables de fabriquer la Vitamine C dont leur métabolisme a besoin, en quantités variables suivant les nécessités du moment. Un accident survenu au cours de l’Évolution, a rendu quelques rares espèces dont l’homme, dépendantes d’un apport extérieur de cette substance vitale en les privant de l’une des 2 enzymes nécessaires à son élaboration (
la gulanolactone-oxydase) et doivent quotidiennement consommer les fruits et les légumes nécessaires à cet apport vital en Vitamine C qu’ils ne sont plus en mesure de fabriquer biologiquement (la vitamine C est en effet un dérivé du glucose élaboré par biosynthèse enzymatique). Le cochon d’Inde fait partie de ces animaux et devient diabétique en un mois lorsqu’il est privé de vitamine C dans ses aliments (les signes biologiques du Scorbut et du Diabète avancé sont identiques).

voir diabete

HORMONES ET VITAMINES
..
Catalyseur des phénomènes d’oxydo-réduction du métabolisme cellulaire, la vitamine C permet en permanence les dégradations et  synthèses. Par suite, en tant que dérivé hautement réactif du glucose agissant comme donneur et accepteur d’électron, elle est liée à la quasi totalité des échanges cellulaires.
Du point de vue moléculaire, en effet, la vie consiste en un flux et transfert ordonnés d’électrons, et la présence en suffisance d’une substance telle que l’acide ascorbique dans la matière vivante facilite ces mécanismes, un peu comme une huile baignant les rouages de la vie.
L’acide ascorbique intervient dans la fabrication du sang et particulierement dans les organes et tissus présentant une haute activité métabolique:
glande pituitaire, cerveau, surrénales, ovaires, yeux etc...
Toute agression chimique et tout traumatisme physique utilise un surcroît d’acide ascorbique. La vitamine C donc très présente dans les glandes surrénales, et dans la médullo-surrénale, est indispensable à la formation de la noradrénaline et de l’adrénaline, hormones servant à la mobilisation rapide d’énergie en cas d’alerte. Le stress entraîne une sécrétion accrue d’hormones stéroïdes dans la corticosurrénale en même temps que l’effondrement du taux d’acide ascorbique et de cholestérol dans le tissu surrénalien.
Ceci montre que la vitamine C est impliquée dans la synthèse des hormones stéroïdes à partir du cholestérol.
Du reste, l’acide ascorbique est considéré comme un facteur de transition entre les hormones et les vitamines. C’est ainsi qu’il est nécessaire à l’action des

CARENCES EN VITAMINE C
..
Scorbut
Une carence en vitamine C dérive vers des affections dont la plus grave est le scorbut.
Déjà mentionné par Hippocrate (400av J.C.) le scorbut a sévi dans le passé, décimant les Croisés plus que ne le firent les Sarrasins, les équipages des grands navigateurs (Magellan, Vasco de Gama, Jacques Cartier) et les populations pauvres lors des famines. Ce n’est qu’en 1753 que le Docteur James Lind prouva expérimentalement le rôle curatif et préventif des citrons et oranges.
Le scorbut se manifeste par des hémorragies sous-cutanées, le ramollissement des articulations, l’anorexie, l’anémie et la lenteur dans la guérison des blessures. Les odontoblastes des dents –
cellules osseuses entre les canaux des racines – raccourcissent et se séparent de la dentine, les dents deviennent poreuses et se déchaussent, tandis que les gencives se tuméfient. Les symptômes psychiques du scorbut sont la fatigue et la dépression (le psycho-test Minnesota Multi-phasic Personality Inventory accuse un taux accru d’hypochondrie, de dépression et d’hystérie).

Insuffisance chronique
La haute concentration de vitamine C dans l’organisme suggère que, davantage qu’un co-facteur métabolique, elle en est constitutive. Une insuffisance régulière de vitamine C est responsable outre des troubles psychiques précités, des troubles physiologiques dus à l’altération des protections immunitaires contre infections et tumeurs (
la vitamine C se combine aux toxines microbiennes qui sont ainsi neutralisées).
Ainsi, une subcarence régulière favorise l’apparition des maladies chroniques, dont beaucoup sont considérées comme simplement dues à l’âge: rétrécissements artériels, hypercholestérolémies, dégénérescences tissulaires (
arthrose, osteoporose), des lésions oculaires (macula, cataracte) très peu récupérables même après correction, fatigues chronique, infections répétitives en particulier respiratoires, allergies, intoxications chroniques, stress, douleurs, crampes, constipation, goutte, anémie et insomnie, etc.
De plus, selon Linus Pauling et Szent-Gyorgyi, nombre de ces maux apparemment sans lien entre eux (vieillissement précoce et diabète, troubles cardiaques et mentaux, inflammation des muqueuses et tendance aux hémorroïdes, arthrite, rhumatisme et cancer) seraient autant de conséquences d’une hypo-ascorbémie latente.

SOURCES DE VITAMINE C
..
Où ?
La vitamine C est abondante dans les végétaux à chlorophylle et caroténoides (légumes, salades et fruits FRAIS).
Les 3 Sources les plus abondantes sont:

– 1. L’Acérola ou cerise des Indes occidentales (1745mg/100g) 20x + concentrée que l’orange ou le citron. Outre la Vitamine C, l’acerola contient des minéraux et des bioflavonoïdes..
– 2. Baie d’églantier (1250 mg/100g),
– 3. Piment rouge cru (370 mg/100g).

Puis par ordre decroissant,

Persil, Kiwi, Brocoli, Poivron, Herbe d’Orge, Chou de Bruxelles, Cresson, Chou-fleur, Epinards, Fraise, Chou, Citron, Orange, Ananas, Pamplemousse, Asperge, Salade verte, Framboise, Groseille, Cassis, Mûre, Tomate, Petits Pois frais, Haricots verts, Melon, Pomme de terre, Oignon, Abricot, Cerise, Pastèque, Prune, Céleri rave, Carotte, Betterave et autres légumes racines, Pomme, Poire, Banane, Raisin..

Ajoutons que le lait frais en renferme un peu et que les végétaux secs et fanés n’en contiennent plus du tout..

Fragilité La vitamine C étant l’une des plus instables de toutes les vitamines, il est préférable de recevoir plus de vitamine C naturelle que les normes indiquées en raison des pertes avant consommation et d’autre part, du fait que ce facteur vital s’épuise rapidement (forte utilisation et rapide élimination rénale, peu de stockage).

Chaleur, exposition à l’air et solubilité dans l’eau sont autant de conditions qui nuisent à la teneur en vitamine C.

– CUISSON  Les pertes sont notables car la vitamine C étant hydrosoluble fuit dans l’eau de cuisson. C’est pourquoi il est preferable de cuire les légumes à la vapeur, et d’utiliser l’eau de cuisson pour les soupes. (voir cuisson)

– OXYDATION  L’acide ascorbique, très sensible à la lumière et à la chaleur, s’oxyde facilement. Cependant un milieu acide a un effet protecteur, c’est pourquoi il est, toutes choses égales, mieux conservé dans les citrus : citron, orange, pamplemousse et dans les fruits acides. Préparer les jus de légumes ou de fruits, découper, éplucher les légumes à l’avance, favorisent cette oxydation.

 Il est indispensable de consommer sous forme de crudités les légumes et plantes potagères ainsi que les fruits riches en acide ascorbique. Ainsi le jus d’un citron, ou une orange et une salade et quelques crudités, sans oublier le persil peuvent  couvrir les besoins quotidiens d’un sujet à l’hygiene de vie parfaite.

BESOINS
..
AJR
Les Apports Journaliers/Quotidens Recommandés précisent seulement les nutriments requis pour prévenir des maladies de carence déclarées, et non pas ce qui est requis pour une santé optimale.
– Le bébé nourri au sein n’a pas besoin de supplément vitaminique si la maman est convenablement alimentée.
Il n’en est pas de même de ceux nourris au lait de vache pauvre en acide ascorbique et aux bouillies. Pasteurisation et ébullition en diminuent encore la faible teneur.
– Le scorbut de l’enfant ou maladie de Barlow qui sévit chez les nourrissons de 6 mois recevant exclusivement du lait stérilisé, est facilement évité si, à partir de 4 mois, on lui administre quotidiennement une cuillerée à café de jus de citron ou d’orange.

voir lait, vraie vacherie

Chiffres Obsolètes
– En amont, les techniques actuelles de production des denrées alimentaires (traitements des sols et pollutions inhérentes en agriculture intensive, conserves, surgélations, irradiations, blanchiment ou déshydratation) sont des facteurs déterminants dans la forte baisse de la qualité nutritionnelle des aliments, donc de leur teneur en vitamines et en oligo-éléments /minéraux.

voir produits bio et les autres

voir irradiation / ionisation des aliments

voir dossier vitaminesdossier oligo-elements

– En aval, la pollution par les métaux lourds, les vaccinations obligatoires, les prises ou prescriptions abusives de médicaments (anti-inflammatoires, antibiotiques, antalgiques, tranquillisants, psychotropes de toutes sortes, neuroleptiques), les traitements médicaux lourds (chimiothérapie, radiothérapie), le mode de vie (stress, maladies chroniques, surmenage, tabac, alcool), les contraceptifs oraux (la pilule altère les changements cycliques dans les concentrations sanguines de vitamine C, et inhibe l’élévation normale de l’ascorbémie au moment de l’ovulation), etc..  entraine une utilisation accrue de la vitamine C.

voir pollution de l’eau

voir vaccinations-intoxication

voir plus fort que les antibiotiques

Au résultat, on s’aperçoit que les chiffres recommandés sont obsolètes car évalués à une époque où ces pollutions  (métaux lourds et substances chimiques agricoles ou industrielles) étaient bien inférieures à celles que l’on connait aujourd’hui.

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Alimentation Vide et Epuisement des Reserves
Ainsi, actuellement aux États-Unis, on observe, chez les jeunes enfants de 6 à 12 mois ingérant des préparations alimentaires industrielles médiocres, ainsi que chez les personnes seules qui, par commodité, vivent de conserves, des hypovitaminoses C chroniques parfois sévères, responsables de nombreux troubles..

Face à cet épuisement rapide des réserves, l’absorption quotidienne de Vitamine C, immédiatement disponible, sous forme de complément alimentaire, est un moyen simple et peu coûteux de prévenir l’installation de carences. Les périodes de stress induisant une consommation accrue d’acide ascorbique par les tissus, des doses orales de l’ordre de plusieurs grammes par jour voire davantage s’avèrent nécessaires.

voir catalogue

voir complements immunitaires

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POTENTIEL THERAPEUTIQUE

ADJUVANT DES MEDICAMENTS

L’acide ascorbique, à côté d’autres nutriments, potentialise l’effet de plusieurs médicaments, ce qui permet d’en réduire les doses, comme dans le cas de l’insuline par exemple. De même, une forte dose d’acide ascorbique accompagnant une aspirine accroît son effet analgésique tout en diminuant sa toxicité.
L’acide ascorbique est, dans l’organisme, l’un des plus puissants anti-oxydants ou réducteurs au sens chimique.
Il peut s’administrer sans danger comme adjuvant, pour conserver aux médicaments prompts à s’oxyder leur activité thérapeutique. Inversement, la vitamine s’oxyde rapidement par contamination métallique et les sujets dont le sang contient un taux élevé de cuivre ou de fer ont un taux bas de vitamine C.

INDICATIONS
TiSSUS
Collagene

CERVEAU
(cognition, depression, autisme, schizophrenie

SOMMEIL

CHOLESTEROL

IMMUNITE
S.I
Cancer
Sida

ANTI TOXIQUE metaux lourds
tabac
alcool

OSCartilage

Arthrose- Goutte

SANG
Anemie
Coagulation
Veines

RESTAURATION DES TISSUS

La vitamine C, et c’est là une de ses fonctions biochimiques majeures, permet la formation et la restauration des muqueuses et du tissu conjonctif (par le collagène) sur lequel se déposent les minéraux et en particulier le calcium; ce qui va former les os, les dents, les cartilages…
En maint cas, on rattache la collagenose aigue à un scorbut subclinique (
insuffisance en vitamine C), présent ou passé, expliquant la porosité et la fragilité des vaisseaux, le fait que les sels minéraux se retirent des os et des dents, que l’anémie progresse et que les blessures se refusent à guérir. C’est le collagène qui cimente les cellules osseuses et procure aux os à la fois leur résistance et leur flexibilité, et c’est lui encore qui donne à l’épiderme sa douceur au toucher, sa souplesse et sa fermeté: l’état du collagène entretient ainsi un rapport étroit avec le phénomène du vieillissement.

FONCTIONS CEREBRALES

La vitamine C permet la synthèse de certaines amines cérébrales (dopamine, noradrénaline, adrénaline), médiateurs d’importance capitale dans la transmission de l’influx nerveux entre les neurones. Ainsi, la vitamine C s’est elle révélée être un composant majeur des thérapies orthomoléculaires des troubles mentaux

Cognition Attention et faculté de concentration sont conditionnées par la production de la noradrénaline, qui est favorisée par la vitamine C.  Elle permet en effet d’accroître la cognition, comme on a pu le constater chez des enfants normaux et trisomiques qui ont obtenu des résultats plus élevés dans des tests d’aptitude intellectuelle.

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Autisme /Depression Des études de 1967 et 1993 ont montré que l’autisme était combattu de façon spécifique par la vitamine C mais la dose optimale reste à déterminer. La recherche a également mis en lumière que la vitamine C améliorait l’état des patients atteints de dépression et de psychose maniaco-dépressive qui, seraient d’après « Infantile Autism », liés génétiquement à l’autisme.

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Schizophrenie Enfin, Hoffer, Osmond, Milner, Vanderkamp, ont observé que la vitamine C à forte dose a un effet thérapeutique chez certains schizophrènes. Ceci laisse entrevoir une anomalie biochimique dans leur utilisation de la vitamine. Ce besoin accru est confirmé par les recherches de Ozerengin à New York. Chez les sujets psychotiques auxquels sont administrées des doses considérables de vitamine C, l’excrétion urinaire d’acide ascorbique n’augmente pas, ce qui semble indiquer que la vitamine est retenue par les tissus et utilisée pour des besoins spécifiques. Pfeiffer a avancé l’hypothèse que cette demande accrue d’acide ascorbique en cas de schizophrenie, correspond à sa surconsommation par les surrénales, en raison d’une stimulation cérébrale soumettant ces individus à un stress intérieur continuel. A quoi s’ajoute un stress extérieur dû à leur difficile adaptation à la réalité.

voir schizophrenie / onagre

INSOMNIE ET TROUBLES DU SOMMEIL

On estime que près de la moitié des français est insomniaque, la carence en vitamine C y a son rôle, car contrairement aux idées reçues, la vitamine C naturelle n’est pas un stimulant, mais un régulateur métabolique. En raison de l’activation initiale de l’hypophyse et des surrénales, sa consommation en doses inaccoutumées paraît avoir, tout au début, un effet dopant. Cette première stimulation, qui n’exclut pas, en effet, l’insomnie en cas de prise tardive, fait place au bout de quelques jours à un effet simplement normalisateur qui favorise tout au contraire la qualité du sommeil. Il faut même relever un effet anxiolytique extrêmement intéressant.

TROUBLES IMMUNITAIRES

La vitamine C doit donc être largement utilisée dans toutes les affections fébriles et infections, qu’elles soient dues à bactéries, virus, champignons, levures ou parasites (grippe, coryza, hépatite, maladies des bronches et des poumons, tuberculose, mononucléose infectieuse, herpès)..

voir grippe

Renforcement du Système Immunitaire

Les globules blancs, gardiens de l’immunité, contiennent près de 60x plus de vitamine C que le plasma sanguin.Les réserves sont vite épuisées en cas de maladies, infections, ou choc traumatique. Différents travaux ont pu démontrer que des concentrations élevées en vitamine C permettait une meilleure mobilisation des globules blancs et des neutrophiles leur permettant ainsi de s’attaquer beaucoup plus facilement aux bactéries. La vitamine C est également indispensable à la synthèse d’anticorps et elle possède donc un effet antiviral à fortes doses (elle favorise la synthèse et l’activité de l’interféron qui empêche la pénétration du virus dans la cellule).

voir systeme immunitaire

Cancer

De nombreuses études épidémiologiques établissent une corrélation entre une forte consommation d’aliments riches en vitamine C et un faible taux de cancer et de maladies cardio-vasculaires. Concernant le cancer de l’estomac, la vitamine C inhiberait l’action néfaste sur la muqueuse d’une bactérie nommée Helicobacter Pilori.
Bien après Linus Pauling dont c’était l’une des pistes importantes, l’Institut National de la Santé de Washington, en 1990, a montré que la vitamine C joue un rôle actif et important dans la prévention du cancer et qu’une teneur faible en vitamine C (hypovitaminose) double le risque statistique de cancer. Par ailleurs, la vitamine C atténue les conséquences des effets secondaires de la chimiotherapie et de la radiotherapie, tout en participant elle-même à la destruction des cellules malignes et en empêchant leur multiplication. La vitamine C combattrait directement certaines cellules cancéreuses sans nuire aux tissus sains, comme il ressort notamment des travaux de Dean Burk et col. publiés en 1969.

Sida

Confirmant le Dr.Cathcard qui en 1984 affirmait  » les sidéens sont très améliorés cliniquement et biologiquement par la vitamine C « , le Dr. Jariwalla, de Palo Alot (Californie), a montré l’activité anti-HIV de la vitamine C, qui inhibe in vitro la réplication des différentes souches de ce virus.

VITAMINE C ANTI-TOXIQUE

Rejet des poisons absorbés

Les métaux lourds sont responsables de troubles nerveux lorsqu’en surabondance, ils se lient intimement aux cellules : mercure d’amalgames dentaires, plomb des peintures anciennes (saturnisme), cadmium provenant des cigarettes, aluminium, cuivre et plomb de l’eau du robinet, traitements au plomb des fruits, légumes et céréales… Seul l’acide ascorbique, en les transformant en sels solubles, les rend éliminables.
Les intoxications au benzène et aux pesticides DDT et lindane sont également neutralisées par la vitamine C, de même que les effets de divers toxiques organiques – toxines bactériennes et animales par exemple – et ceux des médicaments. L’acide ascorbique inactive le monoxyde de carbone et le dioxyde de soufre, et réduit aussi l’effet des substances cancérigènes, si bien qu’il procure la seule protection directe contre pollution de l’air et tabagisme.

Tabagisme

Bien que pour le fumeur il n’y ait pas d’altération de la capacité d’absorption de la vitamine C, il n’en reste pas moins que le corps d’un fumeur consomme bien plus de vitamine C qu’un non fumeur (chaque cigarette consomme 25 mg de vitamine C). Ses réserves s’épuisent donc très vite.  La supplémentation doit donc être en conséquence  pour compenser les pertes et pour reconstituer les réserves. Il faut savoir que la vitamine C agit aussi dans la neutralisation du benzopyrène et des nitrosamines cancérigènes de la fumée de cigarette.

Alcoolisme

Chez les gros consommateurs d’alcool, il y a vraie carence en vitamine C. En effet, l’alcool augmente le besoin du corps en vitamine C. D’autre part, les altérations digestives et hépatiques des alcooliques entravent fortement les possibilités d’absorption, d’utilisation et de stockage.  La supplémentation à haute-dose est donc fortement indiquée et doit être maintenue bien après le retour à la sobriété.

CHOLESTEROL

La vitamine C régule le métabolisme des lipides. Une administration au long cours à doses suffisantes contribue à résorber les problèmes d’hypercholestérolémie et de triglycérides du sang.
La vitamine C accélère de façon directe la conversion du cholestérol en acides biliaires (Lewin), principale voie utilisée par l’organisme pour se débarrasser du cholestérol en excès.
Spittle, après avoir constaté que son propre taux de cholestérol était fortement abaissé sous l’effet de l’acide ascorbique, a entrepris une étude clinique sur divers sujets : chez les individus jeunes et en bonne santé, le taux de cholestérol sanguin a tendance à baisser lorsque 1g de vitamine C par jour est ajouté à un régime alimentaire normal, alors que, chez les patients atteints d’athérosclérose, le cholestérol sanguin augmente au contraire momentanément sous vitamine C, en raison probablement de la mobilisation du cholestérol artériel. Spittle émet l’hypothèse que l’athérosclérose est pour une part la conséquence d’un déficit vitaminique C à long terme, lequel permettrait au cholestérol de s’accumuler dans le système artériel..

AFFECTIONS ET DOULEURS OSTEO-ARTICULAIRES

Etat des Os et Cartilages

L’association Calcium-Vitamine C accélère d’environ 30% la guérison des fractures avec un net renforcement de l’os (attention, la combinaison de sels de calcium avec la vitamine C peut causer des calculs rénaux d’oxalate de calcium qu’il est possible d’éviter par un apport de magnésium et de pyridoxine). Dans des études cliniques, Greenwood a montré que la vitamine C est indiquée dans les douleurs lombaires, et que son emploi en doses adéquates permet souvent d’éviter une opération des disques vertébraux. Ceci marque bien l’importance de la vitamine C pour le bon état des os, des cartilages et du tissu conjonctif. Les arthritiques requièrent par ailleurs davantage de vitamine C que les autres pour débarrasser leurs articulations d’une surcharge en fer et en cuivre.

Goutte

Il a été constaté que la prise de vitamine C à raison de 8 g/jour pendant 8 jours seulement amène une réduction de 30% de l’acide urique sanguin. Elle peut donc être utilisée efficacement dans prévention et traitement de la goutte.

Arthrose

Le traitement de fond par la vitamine C associée à vitamine E, cartilage de requin, et silicium organique (afin de rétablir l’équilibre acido-basique) permet de stopper et d’inverser la progression de l’arthrose (entre 15 et 30 % d’amélioration visible à la radiographie après 2 ou 3 ans de traitement).

voir catalogue (C/E/silicium)

voir cartilage requin

voir arthrose

VITAMINE C ET SANG

Anemie

L’acide folinique, nécessaire à la formation du sang, provient de la conversion de la vitamine B9 (acide folique) par l’acide ascorbique (vitamine C). Les co-enzymes ainsi obtenus requièrent ensuite en permanence les vitamines C et B9, pour  demeurer biologiquement actifs c’est à dire pouvoir permettre la synthèse des protéines à l’intérieur des cellules. Des malades atteints d’anémie mégaloblastique ont accusé des carences triples en acide folique et en vitamines C et B9.
Des études sur des enfants atteints d’anémie ferriprive, ont démontré que l’absorption intestinale du fer était grandement favorisée par l’ingestion d’acide ascorbique. Ainsi, la vitamine C, en conjonction avec le fer, accélère au maximum la formation des globules rouges et provoque une forte concentration d’hémoglobine. La vitamine C aide à la mise en réserve du fer plasmatique dans les tissus en réduisant et en libérant les ions ferriques et en leur permettant ainsi de former des liaisons étroites avec les protéines plasmatiques.

Coagulation

Les scorbutiques présentent toujours une diminution importante des taux de coagulation. La vitamine C est un des élements indispensables à la coagulation du sang et donc à prescrire dans tous les syndromes hémorragiques.

Maladies veineuses

La vitamine C en association avec des bioflavonoïdes est efficace et sans risque dans le traitement des varices, ulcères variqueux et hémorroïdes.

CONCLUSION
QUELLE VITAMINE C ? NATURELLE ? SYNTHETIQUE ?

La Vitamine C ou acide ascorbique est prescrite, dans quelques trop rares cas, par la medecine allopathique.
Malheureusement, il s’agit toujours de la forme synthetique, c’est à dire qu’on l’a isolée (de façon toute théorique) puis copiée en laboratoire afin de la rendre moins chère et plus rentable à produire que sous sa forme naturelle.
Mais si le médicament synthétique argue de la présence chimique de la vitamine, il ne peut proposer qu’un clone mort à l’organisme qui ne pouvant le décoder, soit l’ignorera et l’éliminera (d’où l’inefficacité des faibles doses), soit en sera fortement perturbé (d’où la toxicité des fortes doses).
Les produits naturels, par la préservation de la stereochimie et des synergies, sont seuls à pouvoir garantir l’activité biologique de la vitamine et son utilisation optimale par l’organisme. C’est là le seul critère à prendre en compte dans la comparaison.
D’action quasi nulle à doses faibles, les vitamines synthétiques générent des troubles à hautes doses : crises de diarrhée, maux de tête, brûlures d’estomac (en ce qui concerne la vitamine C), alors qu’à quasi n’importe quelle dose, les vitamines naturelles s’avèrent supérieures et toujours inoffensives..

« ..Les traitements par molécules naturelles non toxiques, sont simples et efficaces. Ils sont encore trop peu connus en France, où le corps médical reste sous l’influence de l’industrie pharmaceutique… » (Dr Pierre Corson). La recherche est manipulée et doit donner, face aux thérapies naturelles, une image « médicale » sensée symboliser l’intégrité et le sérieux. Pour faire taire les critiques à propos des médicaments de synthèse, la plupart des études menées sur l’efficacité et l’innocuité des vitamines naturelles se voient régulièrement controversées voire falsifiées (campagnes recurrentes contre les travaux de Pauling).
Ainsi, par pression ou avantages, par le fait qu’on ne les forme pas non plus en nutritherapie, on trompe les medecins pour leur faire préférer à toute thérapie naturelle les médicaments synthétiques issus du lobbie médico-pharmaceutique..

Un effet des molécules synthétiques a été de dépersonnaliser le besoin de chacun qui est pourtant spécifique. Contraint par la toxicité des produits employés, et habitué à ne plus l’écouter, nous avons perdu la compréhension du corps. Il faut maintenant ré-apprendre à interpreter SON besoin et la demande de SON organisme pour déterminer, en l’occurrence, la quantité de Vitamine C necessaire (au- delà du besoin minimal) en fonction de son stress, de la saison, de son état général, etc…. Ces capacités naturelles d’écoute ne sont possibles à retrouver que bien conseillé et avec certains produits naturels totalement atoxiques comme la vitamine C naturelle..

Les femmes ayant un faible taux de vitamines D dans le sang auraient plus de risque de développer un cancer du sein, d’après une étude menée par le Centre de Recherche Allemand contre le Cancer (DKFZ). Ces résultats viennent confirmer les nombreux travaux révélant les effets de la vitamine D pour protéger les femmes ménopausées du cancer.


D’après cette nouvelle étude, menée sur 1.394 femmes ménopausées atteintes d’un cancer du sein, et autant de femmes en bonne santé, un faible taux de vitamines D dans le sang serait ainsi lié au risque de développer la maladie.

Les chercheurs rappellent toutefois que cette carence peut être influencée par les effets de la chimiothérapie et la faible exposition au soleil, pour cause de séjour prolongé à l’hôpital – les ultraviolets incitent en effet la peau à produire de la vitamine D.

Les Françaises semblent particulièrement touchées, puisqu’une autre étude, menée fin 2006, avait révélé qu’après 50 ans, elles sont les plus carencées en vitamines D parmi les Européennes. Un manque probablement dû à leur alimentation, trop faible en viande.

La vitamine D provient de deux sources : l’alimentation et l’exposition solaire. Un quart d’heure d’exposition par jour, les bras nus, suffit.

Dans l’alimentation, on retrouve la vitamine D dans les poissons gras, comme le saumon, le hareng, l’anchois, le thon, la truite ou la sardine. Elle est également présente dans les oeufs et les produits laitiers.

Chaque année, 11.000 femmes meurent d’un cancer du sein en France, et 50.000 nouveaux cas sont diagnostiqués. Le cancer du sein reste la première cause de décès par cancer chez la femme.

(Relaxnews)

Introduction

Les carences en micronutriments et en vitamines et en particulier la vitamine D et A constituent un problème majeur de santé publique au Maroc compte tenu de la situation épidémiologique ainsi que des conséquences graves qu’elles engendrent sur la santé. Conscient de ces effets néfastes et notamment ceux de la carence en vitamine A, le Maroc s’est engagé lors du sommet mondial pour l’enfance (New York 1990) et lors de la conférence internationale sur la nutrition (Rome 1992) à réduire puis à éliminer l’avitaminose A et ses effets d’ici l’an 2004.

Rôle physiologique de la vitamine A

La vitamine A est une substance indispensable à la vie humaine. Elle intervient dans plusieurs fonctions particulièrement :

  • La synthèse des pigments visuels nécessaires pour la vision nocturne,

  • La défense immunitaire,

  • La détoxication hépatique (antioxydant),

  • Le métabolisme des hormones stéroïdes,

  • La croissance.

Besoins physiologiques

La qualité de vitamine A recommandée dans l’alimentation dépend de l’âge, du sexe et de l’état physiologique de l’individu. Les besoins journaliers en vitamine A sont estimés à

  • 370 mg/jour chez le nourrisson de 0 à 3 mois

  • 350 mg/jour chez le nourrisson de 3 à 6 mois

  • 320 mg/jour chez le nourrisson de 6 à 12 mois

  • 390 mg/jour chez l’enfant de 1 à 6 ans

  • 500 mg/jour chez l’enfant de 6 à 12 ans

  • 580 mg/jour chez l’enfant de 12 à 15 ans

  • 640 mg/jour chez l’enfant de 15 à 18 ans

N.B. : l’activité biologique de la vitamine A est exprimée soit en équivalant Rétinol (E.R) soit en Unité Internationale (U.I). un E.R correspond à une activité biologique égale à 1 microgramme (soit 3,33 UI) de Rétinol

Sources alimentaires de la vitamine A

Il existe deux sources de vitamine A dans l’alimentation :

  • Vitamine A d’origine animale : Rétinol ou vitamine A présente dans le foie, la viande, les oeufs, le beurre, le lait et ses dérivés.

  • Vitamine A d’origine végétale : Caroténoïde ou provitamine A présente dans le persil, le coriandre, les légumes jaunes orangés ou à feuilles vertes (les carottes, les courges, les patates douces, les blettes, la mauve, …) et les fruits (les pêches, les abricots…).

Conséquences de la carence en vitamine A

L’hypovitaminose A constitue un important problème de santé publique dans de nombreux pays en développement tant par les lésions oculaires et la cécité dont elle est responsable, que par son action directe sur la morbidité et la mortalité des enfants d’âge préscolaire. Le nombre d’enfants affectés et la distribution géographique du problème sont nettement plus importants qu’on ne l’imaginait il y a quelques années.

La carence en vitamine A est responsable de plusieurs complications dont :

  • Les troubles cutanés à type de sécheresse de la peau, avec épaississement de la couche cornée,

  • Une héméralopie rendant difficile la vision nocturne,

  • Une xérophtalmie,

  • Une atteinte des glandes lacrymales avec dessiccation de oeil,

  • Une kératomalacie ou ramollissement de la cornée avec ulcération et fonte oculaire (au stade avancé de la carence),

  • Une fragilité vis à vis des infections des appareils respiratoire et digestif,

  • Des troubles de la croissance osseuse,

  • Un appétit réduit chez l’enfant

  • La carence en vitamine A est souvent associée aux infections respiratoires aiguës, aux maladies diarrhéiques et autres infections et parasitoses intestinales, aggravant à leur tour la malabsorption des autres micronutriments

Situation épidémiologique au Maroc

L’enquête régionale sur la carence en vitamine A réalisée par le Ministère de la Santé en 1996 a montré une prévalence chez les enfants âgés de 6 à 72 mois de 40,9% (taux de Rétinol £ 200 mg/l) dont 3,2% ont une carence sévère (taux de Rétinol £ 100 mg/l).

L’enquête a révélé que les régions montagneuses sont plus touchées (47,1%). La prévalence est de 39 % au niveau des plaines contre 38,7 % pour le reste du pays avec une prédominance pour le milieu rural (45,5 % contre 34,9 % en milieu urbain).

Moyens de lutte

1- Education nutritionnelle

Il y a lieu de conseiller les mères sur la nécessité de :

  • Pratiquer l’allaitement au sein exclusif jusqu’à 6 mois. Le lait maternel renferme beaucoup de vitamine A pour autant que le régime alimentaire de la mère en contienne suffisamment.

  • Diversifier l’alimentation afin que le régime soit équilibré et riche en produits naturels contenant la vitamine A (lait, beurre, poireaux, épinards, choux, carottes, tomates).

  • Consommer l’huile de table qui sera prochainement fortifiée par la vitamine A.

2- Supplémentation

a- Supplémentation préventive

    • Chez l’enfant :
      La supplémentation des enfants de moins de 2 ans, se fait à partir de l’âge de 6 mois par des capsules de vitamine A, à raison de :

      • Enfants de 6 mois = 100.000 UI

      • Enfants de 12 mois = 200.000 UI

      • Enfants de 18 mois = 200.000 UI
        A partir de l’âge de 6 mois, et à chaque contact avec l’enfant, le personnel de santé vérifie si la vitamine A a été administrée selon la calendrier national. Le rattrapage se fait jusqu’à l’âge de 2 ans en respectant un intervalle de 6 mois entre 2 prises.

    • Chez la mère
      La supplémentation en vitamine A doit aussi concerner la mère en post-partum. La dose est de 200.000 UI et doit être administrée au plus tard dans le mois qui suit l’accouchement, du fait qu’à cette période la probabilité d’une grossesse est presque nulle. En effet, la vitamine A ne doit pas être administrée aux femmes enceintes en raison de ses effets tératogènes.
      Il est recommandé de profiter de la consultation postnatale pour supplémenter la femme en vitamine A (en même temps que le B.C.G. pour le nouveau-né).

b- Supplémentation curative
En dehors des provinces où la nouvelle stratégie de Prise en Charge Intégrée des Maladies de l’Enfant (PCIME) a été mise en oeuvre, la supplémentation curative devra être assurée par le médecin en attendant l’extension de cette stratégie.

Le traitement de la rougeole par la vitamine A réduit de moitié la mortalité (attribuable à la rougeole aiguë) et prévient les troubles oculaires. La vitamine A aide également le système immunitaire à prévenir d’autres infections ce qui explique son indication dans les autres pathologies susmentionnées.

A chaque administration de vitamine A à l’enfant, la date est notée sur le carnet de santé ou sur la carte de vaccination, ceci est important car des doses répétées et rapprochées de vitamine A peuvent entraîner un surdosage dangereux pour l’enfant.

En cas de malnutrition sévère, d’anémie grave, donner la dose indiquée même si l’enfant a reçu une capsule depuis un mois. En effet dans ces cas là il n’y a pas de risque de surdosage l’enfant ayant utilisé toutes ses réserves.

3- Fortification

Les aliments qui se prêtent à la fortification en vitamine A sont : l’huile, le beurre, le lait et ses dérivés en raison de la solubilité de cette vitamine dans les corps gras.

Un projet de fortification de l’huile de table par la vitamine A, en collaboration avec l’Association des Corps Gras, est en cours dans notre pays. Cette huile fortifiée sera reconnaissable par un logo spécifique.

Conclusion

La carence en vitamine A est une réalité bien présente au Maroc ;le programme de lutte contre ce fléau a commencé déjà a prouver son utilité et son efficacité ;ce programme doit toujours faire partie d’une prise en charge globale des problèmes de santé notamment des carences en vitamines ; en oligo-éléments et carence protéino- énergétique .

Ce programme nécessite une réévaluation périodique et une adaptation aux résultats obtenus afin que l’objectif  » L’élimination de l’avitaminose A d’ici l’an 2004  » soit réalisé.

Réferences

  • A.SOMMER,OMS,la carence en vitamine A et ses conséquences. Guide pratique de dépistage et de lutte,1995,3éme édition

D.S. ROSEN et coll. HKI. To assess community risk of vitamin A deficiency, 1993

Vitamine D et cancer du sein : les carences doivent être corrigées

Posté le 26/05/2008 par Francois Envoyer par mailUne carence en vitamine D augmenterait les risques de rechute et de mort prématurée chez les femmes atteintes de cancer du sein, selon une récente étude. Le test du niveau de la vitamine D dans l’organisme est facilement réalisable dans un laboratoire d’analyse et fait partie des prestations remboursées, si un médecin le prescrit. Alors surtout, n’hésitez pas !

Les femmes atteintes de cancer du sein avec une déficience en vitamine D ont plus de risques de faire une rechute ou de mourir prématurément, suggère une récente étude menée par le docteur Nancy Davidson, présidente de la société américaine d’oncologie clinique. Cette étude révèle également l’importance de la carence en vitamine D dans la population féminine.

76% des femmes carencées

Cette étude a été menée dans le centre de recherche sur le cancer de l’hôpital John Hopkins de Baltimore, sur 512 femmes atteintes d’un cancer du sein, suivies durant six ans. Les mesures de vitamine D ont montré que seulement 24% d’entre elles avaient un taux convenable. Les 76 autres pourcent avaient pour moitié un taux de vitamine D très bas et l’autre moitié un taux juste en dessous d’un taux considéré comme normal, soit 30 ng/ml.
Pour le moment, les chercheurs de l’équipe de Baltimore ne recommandent pas directement la supplémentation en vitamine D afin de rehausser le niveau dans l’organisme. Toutefois, ils laissent entendre qu’un niveau optimal de cette vitamine permettrait d’augmenter la qualité de vie des femmes atteintes d’un cancer du sein et d’optimiser la réussite des traitements. Ils rappellent que les cellules cancéreuses ont des récepteurs de la vitamine D, qui interagit avec les cellules cancéreuses.
Au Canada en revanche la Société canadienne du cancer a d’ores et déjà conseillé une supplémentation systématique.

Contre la carence : du soleil et du poisson

La vitamine D se forme surtout quand nous exposons notre corps au soleil. Au niveau de la peau, les rayons ultraviolets permettent la formation de vitamine D3 à partir de dérivés du cholestérol présents normalement dans l’organisme. Cette source est très variable selon l’exposition au soleil (saisons, brouillard, région, habillement), l’épaisseur et la pigmentation de la peau.
Pour pallier toute carence, on peut trouver cette vitamine en abondance dans différents aliments.

 

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